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Dans la lune
13 novembre 2008

RESTLESS - SANS REPOS de Amosh KOLLEK

restless

J'ai vu ce film, le 11 novembre au matin

dans le cadre du festival L'Autre Cinéma.

Il y a 20 ans, Moshe à fui femme et enfant.

De nos jours petit escroc et poete raté

dans les rues de New-York, il apprend

la mort de son ex-femme.

poète maudit de l'éxil et de la mauvaise conscience

Israellienne, Il renoue avec un certain succèss dans le milieu de

l'underground New-Yorkais malgré l'hostilité d'anciens militaires de Tsahal.

Tzach, son fils, seul au monde après la mort de sa mère

est soldat dans une unité d'élite de l'armée d'Israel.

c'est une tete brulée mais un bon soldat apprécié

de ses supérieurs et qui envisage de rempiler apres

son service obligatoire. Quand se produit une bavure,

tzach est écarté et maintenant sans famille et sans but,

il décide de partir a la rencontre de son poète de père a New-York.

Des retrouvailles mouvementées en perspectives !

IMHO C'est un film noir, les poèmes de moshé sont bien sentis

Quoique parfois fort grivois, son errance peut choquer.

les scènes dans les territoires occupés et aux checkpoints

Sont justes et sans prechi-precha.

Les sentiments de Moshe et de sont fils crèvent l'écran.

le film vaut le coup d'oeil.

Critique de ARTE

Sans prendre de gants, « Restless » commence

par illustrer brutalement et frontalement son titre :

« sans repos / agité » avec un coup de poing,

de la violence brutale filmée caméra à l’épaule

dans une arrière-cour sombre.

commentaire tiré de cette page

"Ma génération est frustrée"

"Moshe est un peu aigri, très sarcastique,

un peu ivrogne, très critique" envers Israël,

concède Amos Kollek, qui dit s'être "inspiré"

de son rapport avec son père, Teddy Kollek,

maire de Jérusalem pendant près de trois décennies.
"Tout le monde l'aimait, l'admirait,

mais moi j'avais un rapport mitigé avec lui", dit-il. "

Je le voyais peu, mais on me disait

que j'avais de la chance d'être son fils".
"Restless" évoque un juif "déçu par son pays"

et qui survit à New York,explique Amos Kollek.

"Ma génération est frustrée: Israël est l'un

des grands miracles du siècle passé (...)

mais il y a le conflit avec les Arabes",

dit-il. "Il suffirait de déposer les armes

et de dire 'on va s'entendre'.

Moshe porte en lui cette déception".

commentaire tiré de cette page

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